Malaise – c’est le mot qui décrit la réaction quasi-instantanée de la majorité des Québécois et Canadiens quand il en vient à parler de la relation entre allochtones et autochtones. Dans sa bande dessinée évolutive et participative ‘Des histoires à raconter’: d’Ani Kuni à Kiuna’, Emanuelle Dufour explore le phénomène de (non)rencontre entre les Peuples autochtones et non-autochtones. En sa compagnie, on parle de ce malaise allochtone, des façons de le surmonter et de se responsabiliser individuellement et collectivement.
Pour que les jeunes autochtones puissent continuer de rêver
En marge des débats nécessaires au sujet de la reconnaissance du racisme systémique, nous avons un autre message : on doit donner aux jeunes de nos communautés la possibilité de se projeter dans un avenir où ils sont en pleine possession de leurs moyens.
Établir un équilibre relationnel avec les Autochtones
« Ce n’est qu’en établissant de nouvelles relations avec les Autochtones que l’on peut espérer créer quelque chose de commun, mais néanmoins respectueux des différences. »
Comment créer des ponts: une Abénaquise et une allochtone en discutent
Rad a demandé à deux amies et cinéastes, Autochtone et non-Autochtone, comment créer des ponts entre les premiers peuples et les Québécois.