Non-Indigenous folk who live in Canada benefit from the colonialism that happened here. That means we are all responsible for our personal role in reconciliation.
De nombreux enseignants et élèves ont demandé des ressources pour les aider à mieux comprendre l’histoire des Traités. Ce numéro spécial fait partie d’une conversation à plus grande échelle, pour veiller à raconter une histoire réellement inclusive.
On échange avec Myriam Verreault, coscénariste et réalisatrice du film Kuessipan (2019) sur la collaboration interculturelle et les façons de s’engager à diversifier les histoires, les opportunités, et les rôles dans les divers projets qu’on entreprend en tant qu’allochtone.
Au Canada francophone, on sait que l’identité a besoin d’une culture, de traditions, d’une langue et d’un territoire pour survivre. Mais on tend à ignorer ces besoins pour d’autres groupes plus marginalisés que les nôtres.
En compagnie de Martine Robitaille, Anishinabeg de Kitiganzibi et universitaire, on parle de l’exercice de couvertures de Kairos comme outil pour « réapprendre » notre histoire collective canadienne.
Lumière sur le côté sombre des narratifs canadiens et québécois avec Alexandre Bacon, Innu. On discute de ce que signifie vivre dans un État colonial et on explore certaines pistes pour une cohabitation plus saine sur le territoire de la Grande Tortue.
La présente lettre n’a pas pour intention de débattre de l’existence du racisme systémique au Québec. Elle invite plutôt la classe politique à contribuer à une plus grande cohésion sociale.